Idir est mort hier.
A vava inouva a accompagné ma vie d'aussi loin que je me souvienne. Un clic sur l'image vous amènera à la version de cette chanson que j'ai toujours connue :
Voici une autre chanson, Ssendu, dont je dois à un concert Tayfa de l'avoir découverte, dans mon adolescence :
Au-delà de la madeleine de Proust, écho de la nostalgie qui m'accompagne souvent, Idir a toujours été un partisan du mélange de cultures, travaillant souvent, par exemple, avec des artistes celtiques. Je mets ci-dessous une version kabyle de Scarbourough fair, chantée avec sa fille :
Et Isaltiyen avec Alan Stivell :
Et puis, pour faire écho à un précédent billet, un dialogue avec Johnny Clegg :
En visioconf s'il vous plaît
Hier, un ambassadeur de l'ouverture à l'autre s'en est allé.

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